124 - Britney’s “Femme Fatale”

Après plus de deux ans d'absence, Britney Spears est de retour avec son septième album, "Femme Fatale". A quelques jours de sa sortie, Plurielles.fr l'a écouté et vous livre ses impressions.

Attendu pour le 29 mars, le nouvel album de Britney Spears, "Femme Fatale" a fait son apparition ce week-end sur le net. Une apparition remarquée puisque même le célèbre bloggeur Perez Hilton s'en est fait l'écho, se montrant particulièrement enthousiaste sur le septième opus très attendu de la princesse de la pop, qui n'a pas sorti de nouvel album depuis "Circus" en 2008.

Que vaut donc "Femme Fatale" ? S'il est indéniable qu'il ne s'agit pas du meilleur album de Britney Spears, il contient tout de même quelques jolies surprises, à l'instar notamment du très électro-pop "Till the World Ends", deuxième single de "Femme Fatale". Co-ecrit par la chanteuse Kesha, dont on retrouve la patte, le titre est simple mais efficace et devrait se jouer en boucle dans les boîtes de nuit des quatre coins du monde. Dans le même genre, "(Drop Dead) Beautiful" et "I Wanna Go" revêtent un côté très dance qui, s'il ne présente rien de nouveau, a le mérite d'être entraînant (et entêtant).

Autre titre qui sort du lot : "Inside Out", dans lequel Britney Spears renoue avec ses racines 100% pop, qui ont fait d'elle la star qu'elle est aujourd'hui.

Véritable OVNI sur cet opus, "How I Roll" est une bouffée d'air frais et prend des allures de titre indie et acoustique, tel qu'on pourrait l'entendre dans un épisode de Grey's Anatomy. Enfin, "Criminal" est une balade légèrement "pop-isée" qui rappelle certains titres de l'album "American Life" de Madonna. Une référence d'ailleurs revendiquée par Britney Spears.

Un album sans tubes ?

Mais tout n'est pas à garder sur "Femme Fatale". Du côté des déceptions, on retiendra surtout "Big Fat Bass", duquel on attendait beaucoup car il est le fruit d'une collaboration avec Will I AM, le leader des Black Eyed Peas. Répétitif et bourré d'effets sonores superflus, le titre en devient presque inécoutable. De leur côté, "Gasoline", "Trouble for Me" et "Seal It with a Kiss" s'écoutent mais ne sont pas non plus des tubes en puissance. Et c'est peut-être là le problème de "Femme Fatale" : aussi bons que peuvent l'être certains morceaux, aucun ne semble réellement sortir du lot, comme ont pu le faire "Womanizer" et "Gimme More" sur les deux opus précédents de Britney Spears. Même le premier single de "Femme Fatale", "Hold It Against Me", disponible depuis le mois de janvier, n'arrive pas à jouer ce rôle. Trop dance, trop plat, trop remixé. Mais si, après plus de deux ans d'attente, certains diront (à juste titre) que "Femme Fatale" n'est pas du grand Britney, ils auraient tout de même tort de bouder leur plaisir. L'album est un vrai plaisir coupable.

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123 - Repetto à la pointe du succès

Source : l’Express style

Les ballerines colorées, créées en 1947 by Rose Repetto, son devenues l'emblème de la marque.

La griffe de chaussons de danse et de ballerines branchées étoffe son offre en lançant une ligne de sacs.

Avec des airs de Raminagrobis ronronnant de satisfaction, Jean-Marc Gaucher sort du tiroir de son bureau une pièce à conviction jaunie: le catalogue Repetto 1999, année où il a racheté cette marque au bord du dépôt de bilan. Le dépliant met en scène des "chaussures de vieilles dames aux pieds sensibles", comme il les qualifie pudiquement, pour ne pas dire des mocassins incroyablement ringards. C'est cette griffe exsangue que Gaucher, auréolé de l'implantation à succès de Reebok en France, décide alors de remettre en selle. Jackpot: en dix ans, le chiffre d'affaires a été multiplié par huit. La griffe de danse, marquée au sceau d'un "made in France" désormais très en vogue, est plus en forme que jamais, et les magasins se multiplient: deux ouvriront ce printemps à Paris, et une vingtaine en Asie d'ici à l'été. 

Et Dieu créa la femme

"Repetto est avant tout une marque de danse, surtout pas de mode", rappelle Jean-Marc Gaucher, 58 ans, lui-même plus adepte de course à pied que d'entrechats. En 1947, Rose Repetto dessine un chausson de danse pour son étoile de fils, le danseur et chorégraphe Roland Petit. Qui lui adresse vite ses copains Noureïev et Béjart. En 1956, Brigitte Bardot s'apprête à tourner Et Dieu créa la femme pour Roger Vadim et veut "une chaussure dénudée, qui laisse apercevoir la naissance des orteils". La ballerine de rue est née. Dans les années 1970, Gainsbourg ne quitte pas ses Zizi, modèle créé par Rose Repetto pour sa belle-fille, Zizi Jeanmaire. Quand la fondatrice décède, en 1984, l'entreprise périclite. 

Les codes de la danse détournés

De ce fantastique héritage, l'imaginaire de la danse - une madeleine pour des générations de femmes -, Jean-Marc Gaucher a fait un génial outil de marketing. Le département danse de la griffe est dirigé par une ancienne danseuse de Béjart et Marie-Claude Pietragalla. "Pour chaque paire de chaussons vendue à l'Opéra de Paris, on perd de l'argent, car le sur-mesure coûte très cher, explique le dirigeant, mais c'est crucial pour notre image." Dans la boutique amirale de la rue de la Paix, de vraies barres de danse sont fixées devant les miroirs. Et, pour le reste de la gamme, non professionnel, les codes de la danse sont toujours là, quitte à être détournés. Ainsi, les formes des chaussures - même à talons, une fantaisie autorisée depuis deux ans - doivent toujours être inspirées de la danse, tango, samba, mérengué ou jazz. Et la ligne de sacs qui sera lancée en mai a été conçue avec des danseurs de l'Opéra de Paris.

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122 - Springtime

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121 - Vide grenier 3/04/2011

Un vide grenier d’ouverture. En effet, mon père et moi avons ouvert la saison en allant ce matin dès 8h du matin au vide grenier organisé à Beaumont les Valence. Début timide mais efficace, les stands n’étaient pas aussi nombreux qu’à l’habitude mais le produit était présent, les prix aussi.

Achats : des lunettes de soleil (ci-dessous), un pyjama, un top de soirée NAF NAF pour la modique somme de 3€. Petit regret : un collier à 1qu’une dame a acheté devant moi… dur la réalité des vides greniers !

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120 - Iphone 4

Faut-il que j'ai craqué pour l'iPhone 4 ?

L'iPhone 4, le nouvel opus du téléphone intelligent d'Apple à écran tactile, est commercialisé depuis le jeudi 24 juin 2010. Il est vendu à partir de 199 euros pour les nouveaux clients et à partir de 149 euros pour ceux qui renouvellent leur abonnement. En fait, l'appareil peut coûter jusqu'à 600 euros pour ceux qui souhaitent rester chez leur opérateur, ce qui en fait un téléphone un des plus chers du marché.

Et c'est là qu'il fait bon être fidèle à son opérateur : avec mes 2500 points hop hop hop, la bête, que dis-je, le bijoux passe de 600 à 300€. De quoi se faire un petit plaisir et changer de forfait par la même occasion. Et là, le summum : l'option de transition qui permet d'avoir internet entre le moment où l'on reçoit l'iphone et le renouvellement du nouveau forfait. La nouvelle version de l'iPhone mérite-t-elle un tel investissement ?

L'iPhone 4 se distingue par un look ultra fin, une meilleure prise en main. On peut regrouper à sa guise les applications dans des dossiers. Les mails provenant de plusieurs comptes sont rangés dans une seule boîte. Ce n'est pas forcément pratique lorsqu'on reçoit de nombreux messages. Plusieurs programmes peuvent être lancés simultanément très simplement et très rapidement grâce à un nouveau microprocesseur. Bref, de quoi s'amuser, surtout durant l'installation qui, il faut l'avouer, m'a donné du fil à retordre. Une satisfaction personnelle assez conséquente se fait ressentir une fois le tout synchronisé correctement.

L'iphone 4, un gadget certes, mais un gadget coquet.

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119 - Jazzing Flamenco

Vendredi 1er avril – 20h30, en galante compagnie

Spectacle aux 4 nominations
Premios Max – Arts de la scène 2010
Prix du meilleur interprète masculin de danse 201
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Jazzing Flamenco marie tradition classique et modernité, au travers d’une danse revivifiée, captivante et sensuelle, portée par des musiciens exceptionnels. Une remarquable alliance entre blues, jazz, soul et flamenco.  Un spectacle en musique live totalement innovant et envoûtant. Merci à Dorian pour les places au second étage !

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118 - Can we date ?

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117 - Dernière acquisition

Petit après-midi Fripes avec l'ami Pauline qui m'a permis de dénicher ce sac incroyable : jaune bien pétant avec lanière argentée et motif original. Coloré en enthousiaste, il ira parfaitement avec le printemps. Bon ok, il ira aussi avec l'été !!

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116 - Jackson Pollock is me ?

Un peu de détente ?

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115 - Printemps du cinéma 2011

Le Printemps du cinéma 2011 a débuté ce dimanche : pendant trois jours, toutes les séances de cinéma sont au tarif unique de 3,50€. 

Comme chaque année, le Printemps du cinéma revient. En 2011, pour sa 12ème édition, l'événement dure trois jours, du dimanche 20 au Mardi 22 Mars. Et pendant ces trois jours, la place de cinéma est au tarif unique de 3,50€ dans les salles participantes. Le printemps du cinéma est ainsi une occasion unique de découvrir en famille, entre amis ou en amoureux, tous les films à l'affiche actuellement. L'an dernier, il avait connu un énorme succès avec un total de 2,8 millions d'entrées. Cette année, les ambassadeurs du Printemps du Cinéma sont : Anaïs Demoustier, Audrey Lamy, Géraldine Nakache, Elisa Sednaoui, Karin Viard, Cédric Klapisch, Gilles Lellouche, Raphaël Personnaz et Clément Sibony.
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