165 - Last night

Date : 16 février 2011  --  Durée : 1h32  --  Avec : Keira Knightley, Guillaume Canet, Eva Mendes, Sam Worthington

Résumé : Joanna et Michael vivent à New York. Aucun nuage, aucun doute n'est jamais venu assombrir leur union, jusqu'à ce que chacun d'eux soit tenté, la même nuit… Pendant que Michael est en déplacement professionnel avec Laura, jeune femme aussi attirante qu'énigmatique, Joanna recroise Alex, l'autre grand amour de sa vie. Les 36 heures qui suivent vont obliger chacun à faire des choix…

Mon avis : ce film est bien mais l'absence de fin est flagrante. Suite à venir ? Manque de budget ? Ces questions se posent ! Quant au reste du film, le temps s'étire devant le spectateur à cause d'un manque de rythme flagrant. Le duo Canet/ Knightley ne laisse pas indifférent. Atout majeur de ce film, le casting est à la hauteur, dommage que le reste ne suive pas. 

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164 - Rules are there

Techland, le site hi-tech du Time, a recensé les dix règles essentielles du savoir-vivre à l'heure des téléphones portables et de l'Internet.

1. Ne pas téléphoner à table

2. Ne pas regarder le téléphone de son voisin par-dessus son épaule

3. Ne pas hurler dans son téléphone en public

4. Ne pas utiliser Facebook, le mail ou les sms pour annoncer une mauvaise nouvelle

5. Ne pas parler à quelqu'un avec des écouteurs sur les oreilles

6. Ne pas demander n'importe qui comme ami sur Facebook

7. Ne pas mettre en ligne et taguer quelqu'un sur une photo sans l'avertir

8. Ne pas utiliser plusieurs prises pour recharger son équipement (téléphone, ordinateur, iPod, iPad...) dans un endroit bondé

9. Ne pas s'engueuler sur Facebook ou Twitter "en public", soit pendant que des amis suivent la conversation sur l'écran

10. Ne pas envoyer des photos de vous nu sur quelque plateforme que ce soit

Ce à quoi j’ajouterais,

11. Ne pas changer de statut plus d’une fois par jour

12. Ne pas devenir fan de pages vulgaires

13. JAMAIS au grand jamais faire de fautes

14. Trier ses amis en fonction de sa vie privée ou professionnelle

15. Partager les applications Iphone lorsqu’elles sont biens et gratuites !

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163 - Super 8

Site officiel

Date : 3 août 2011   --     Durée : 1h50   --     Avec : Joel Courtney, Elle Fanning, Kyle Chandler, Ryan Lee...

Résumé :  Dans l'Ohio, en 1979, six jeunes adolescents utilisent une caméra Super 8 pour filmer un film de zombies. Lors d'une nuit de tournage, ils se rendent près d'une ligne de chemin de fer et, alors que la caméra est en train de filmer, un terrible accident se produit. Un train percute un camion et déraille. Ensuite quelque chose s'extrait de l'un des wagon, quelque chose d'inhumain...

Mon avis : Un film dans un film, concept déjà vu mais brillament orchestré ici !  Les références aux précédents films de Steven Spielberg et à sa vie de réalisateur enrichissent le film (Super 8, le titre lui-même fait une référence à la première caméra utilisée par le grand maître !) déjà très fort en émotion : on sursaute, on rit, on a peur : tout un programme ! Les personnages principaux ne sont autre que de jeunes adolescents, fraîcheur inattendue et bienvenue ! 

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162 - Les perles de la plage

Quoi de mieux que ces chaussures dorées et pleines de perles pour parcourir le sable de Port-Camargue ? Actuellement à 20€ en magasin (je les ai prises à 30 grrrrrr), ces chaussures accompagneront la fin de votre été avec grâce et gaité ! Courrez donc chez Jacqueline Riu pour les retrouver !

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161 - La presse féminine bat son plein

Prémices de la presse féminine

Les principaux magazines féminins d’aujourd’hui sont apparus lors des grandes étapes de l’évolution des femmes. Rappelons qu'il fut un temps où la femme n'avait pas accès à l'éducation donc à la lecture.

La presse féminine a parcouru un bon bout de chemin avant d'être ce qu'elle est aujourd'hui. En effet, cette presse a vu ses origines au mouvement d'émancipation des femmes. En France, dès le XVIIIe siècle apparaissent des publications alors que les femmes commencent à jouer un rôle social plus visible: Le journal des Dames (1759-1788), Les Annales de l'Éducation et du Sexe (1790).

 

La Révolution Française sera particulièrement propice à l'éclosion de nouveaux titres. Cette presse a pris un essor particulier pendant les années d’après-guerre, années d’expansion économique, pour se remettre en question pendant les années 60, années de contestation. Elle s’est renouvelée au cours des années 80 avec Femme Actuelle comme leader. 

Pendant les années 90, années cocooning, la presse féminine se diversifie autour des centres d’intérêt majeurs des femmes comme la mode ou encore le bien-être, puis elle s’atomise avec la montée de l’individualisation.

Les années 2000, années de changement de génération, apportent un souffle d’inventivité (nouveaux formats, hors-série..) et voient apparaître des magazines de très forte proximité orientés vers l’optimisation de la vie.

La presse féminine aujourd’hui

Paulette, Causette ou Grazia, les titres apparus ces dernières années se démarquent du modèle des grands titres. Ces titres apparus ces dernières années dans le paysage de la presse féminine se démarquent du modèle des grands titres, par petites touches ou de façon radicale, tout en invitant les lectrices à participer à l'élaboration de leur magazine.

 

"La presse féminine est en ébullition. C'est inouï. Parmi toutes les familles de presse, c'est celle qui garde le plus d'avenir sur le papier", analyse Vincent Soulier, auteur de "Presse féminine la puissance frivole"

 

Dans un paysage déjà bien fourni entre Femme actuelle, Prima ou Elle, Grazia a repris les recettes qui marchent (mode, look, beauté...) et a rajouté sa touche personnelle: un soupçon de people "sans tomber dans le gossip", selon sa rédactrice en chef, Yseult Williams. Le ton se veut nouveau, "sans être minaudeur", marqué par une forte sensibilité aux questions de mode visant un public plus jeune et haut-de-gamme, qui diffère "des lectrices de Femme actuelle ou Prima" selon Vincent Soulier, tout en gardant un fort contenu publicitaire: 45 pages en moyenne par numéro.

Sorti en mars 2009, Causette a fait un autre choix: absence de revenus publicitaires afin de conquérir un lectorat déçu par les féminins. Le magazine s'adresse à "celles qui ne se retrouvent pas dans la presse féminine" et qui en ont "marre qu'on (les) prenne pour un porte-manteau ou un porte-monnaie", décrit Liliane Roudière, rédactrice en chef. Oubliées les rubriques mode, beauté, lifestyle et autre test psychologiques... Causette se proclame "magazine plus féminin du cerveau que du capiton". "Le magazine renoue avec la tradition de la presse engagée et militante qui avait fleuri au moment des suffragettes dans les années 70", commente Vincent Soulier. Dossier de l'été sur "l'angoisse du poil", article intitulé "Good morning clito!" ou "voyage en graisse" avant l'été. Liliane Roudière estime que la publication "ne se situe pas par rapport aux autres magazines, Causette se feuillette moins, se lit plus. On peut lire Marie-Claire et Causette à côté, ce n'est pas contradictoire". Pour Vincent Soulier, «le modèle est encore fragile » avec ses 15.908 exemplaires vendus en moyenne pour chaque numéro en 2010, faute de moyens financiers conséquents eu égard à l'absence de revenus publicitaires.

Paulette et Causette partagent une forte dimension communautaire. Né autour du concept du participatif, Paulette, un pure Player (média né sur le web), a fait le pari d'une diffusion "virale" par Facebook et Twitter.

Les sections chiffons, silhouettes, culture ou actu coquettes rappellent un contenu traditionnel mais le site tranche en faisant participer ses lectrices. Selon Irène Olczak, "paulette en chef", "les gens peuvent créer un book sur le site pour proposer leurs illustrations, écrire ou être modèle, l'idée est que nous sommes toutes des Paulette". Le magazine en ligne espère se lancer en version papier grâce à un système de "préabonnement" aux trois premiers numéros: si les abonnés atteignent les 3.000, le magazine pourra sortir en kiosque.

Dans le même registre, les Pétroleuses, "le magazine qu'on voudrait avoir comme copine" lancé fin 2010, voulait laisser une très grande place aux contributions des lectrices. Pour Vincent Soulier, il s'agissait d'une "over promesse": "quand on fait de la dimension participative une sorte de leitmotiv, ça devient démagogique". Faute de lectrices, le mensuel n'a pas édité son deuxième numéro.

 

 

 

Source - France2.fr et lapressefeminine.blogspot.com

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160 - Fluokid

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159 - Melancholia

 

Date : 10 août 2011

Durée : 2h10

Avec : Kirsten Dunst, Charlotte Gainsbourg, Kieffer Sutherland, Charlotte Rampling, John Hurt, Alexander Skarsgard.

Résumé : Comme un opéra, le film a une véritable ouverture, un montage d'images énigmatiques et somptueuses, magnifiées par la musique, une version instrumentale de La mort d'Isolde de Richard Wagner : le visage d'une jeune femme blonde cernée par des moineaux qui tombent du ciel, un cheval qui s'enfonce dans un pré, une mariée flottant dans une rivière...Passées ces premières minutes énigmatiques, on retourne au bon vieux récit : Justine et Mickael se marient mais voilà, elle n'est peut-être pas si heureuse que cela...

Mon avis :  Melancholia est unique en son genre. Un peu long tout de même, on finit par se dire "Mais qu'elle la heurte cette fichue planète !". Les éternelles catastrophes américaines paraîtront bien timides après ça. Kirsten Dunst joue à merveille aux côtés de Charlotte Gainsbourg. Un tandem qui réussit et qui n'est pas en rien dans le succès du film.

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158 - Vacances

Des vacances à la mer ? Oui... mais avec le soleil !

Et on a bien failli ne pas le voir celui-là Désilia et moi de vendredi soir à lundi après-midi (oui oui un week end complet !). Heureusement, les boutiques de Montpellier ont fait passer ce mauvais temps pour bon moment. Irréductibles, on est allées à la place même avec un temps grisâtre et une température de 20°C. On a consulté (ou tenté de consulter) la météo toutes les demi-heure à peu près.


Lundi, au bord du gouffre, nous avons pu entrevoir des éclaircies et la machine s'est lancée : baignade, raquettes, plongeons dans les vagues : même le vent à 110 Km/h au moins ne nous a pas arrêtées. Munies de nos multiples revues, nous avons pu enfin profiter allègrement des joies de la mer, beignet compris !

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157 - Lecture estivale

Au début, c’est la couverture qui m’a attirée : couleur vert, avec une lettre sur le devant et un ruban rose, de quoi cacher quelques secrets. Ensuite, le titre m’a interpellée : « Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates (hum par contre quand les gens te demandent ce que tu lis en ce moment, impossible à ressortir), peu commun tout ça ! Et puis il y a eu le résumé au dos : après-guerre, personnages dont on suit l’évolution : un roman comme je les aime. Et pour finir il y a eu le côté épistolaire ! A chaque fin de lettre on se demande qui va écrire à qui ensuite : Juliet, Sophie, Sidney, Dawsey ? Bref, on prend plaisir à suivre l’évolution de tous ces personnages et on s’attache à tous les personnages (pour ma part Isola reste ma préférée).

Résumé // Janvier 1946. Tandis que Londres se relève douloureusement de la guerre, Juliet, jeune écrivain, cherche un sujet pour son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre un monde insoupçonné, délicieusement excentrique ; celui d'un club de lecture au nom étrange inventé pour tromper l'occupant allemand : le "Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates". De lettre en lettre, Juliet deécouvre l'histoire d'une petite communauté débordante de charme, d'humour, d'humanité. Et puis vient le jour où, à son tour, elle se rend à Guernesey.

Extrait d’article - l’Express le 29 avril 2010

« Depuis un an, Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, roman épistolaire écrit par deux Américaines, parade dans le palmarès de L'Express. Comment l'île anglo-normande vit-elle cet étonnant succès, en France et dans le monde ? Visite.

"Attention..., prévient Gill Girard, sexagénaire sportive au sourire lumineux, à Guernesey, certains endroits du Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates existent, mais d'autres sont des compositions imaginaires. N'oubliez pas que c'est une fiction !"

Après les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, où il aurait dépassé le million d'exemplaires vendus depuis sa sortie en 2008, ce best-seller inattendu, roman épistolaire écrit à quatre mains par deux Américaines inconnues, Mary Ann Shaffer et sa nièce Annie Barrows, a tranquillement conquis la France. Tiré à 40 000 exemplaires par les éditions NiL en avril 2009, l'ouvrage s'est déjà écoulé à près de 400 000 et trône depuis 52 semaines exactement, non-stop, dans le palmarès de L'Express ! Last but not least, les producteurs américains Mazur et Kaplan, de la Fox, qui ont adapté Le Diable s'habille en Prada, viennent de prendre une option à la Foire du livre de Londres, même si aucun script n'existe encore. Et puis nombre de cercles ont fleuri un peu partout, notamment sur Facebook, inspirés par celui des excentriques "amateurs de littérature et de tourtes aux épluchures de patates"

La visite commence par St Peter Port, bien sûr, jolie ville portuaire où la jeune Juliet débarque en bateau un jour de mai 1946. On peut toujours déambuler dans les jardins de Candie, alors que le Royal Hotel, lui, a été dévasté par un incendie il y a une dizaine d'années et remplacé par une banque. Un détour par le faubourg champêtre de Calais Lane, où se déroule une grande partie du roman, s'impose aussi. Sans oublier Fermain Bay, Petit Port, la plage de La Vallette, Vazon Bay, Fort Saumarez, la promenade de La Courbrie, Manor House, etc. Ni l'église minuscule, "entièrement recouverte d'une mosaïque réalisée avec de la vaisselle et des poteries casséesAutant dire qu'en quelques heures, le fan des "patates" se fera une idée du décor, un confetti verdoyant de quatorze kilomètres de long et cinq de large, et de l'atmosphère du livre... tout en le relisant. Une idée de l'éditeur américain Random House qui, l'année dernière, a organisé un jeu concours à l'attention des clubs de lectures pour gagner un voyage à Guernesey : 57 000 participants !

 

Le seul territoire britannique occupé par les Allemands

"Avant, je devais préciser où se trouvait Guernesey. Depuis le succès du livre, beaucoup de gens s'exclament : " Mais bien sûr, l'île des patates !"", se réjouit Gill Girard, qui a commencé son "patates tour" en tant que guide l'été dernier. "La plupart des étrangers ignoraient que nos îles étaient le seul territoire britannique à avoir été occupé par les Allemands, de juin 1940 à mai 1945".

Richard Heaume est un spécialiste du sujet : il a ouvert un fascinant musée de l'Occupation allemande. Cette collection privée restitue minutieusement la vie quotidienne de l'époque, des uniformes aux armes en passant par le moindre ticket de rationnement, et fait revivre avec force les événements évoqués dans Le Cercle littéraire... Richard Heaume admet que Mary Ann Shaffer, lui a rendu visite en 1976. "Son roman est bien documenté. Elle a trouvé pas mal d'informations au musée. Mais les événements ne se sont pas passés comme elle le dit. Et ses personnages ne ressemblent pas aux habitants de Guernesey, qui n'aiment pas beaucoup ce livre écrit par une Américaine." Gill Girard renchérit : "Les personnages sonnent faux. Ils portent des noms trop anglais, alors que nous avons bien plus de patronymes d'origine française. On ne se sent pas trop anglais, ici. »

Au fait, quid de la fameuse tourte aux épluchures de patates ? "C'est une invention de l'auteure pour signifier qu'il n'y avait vraiment rien d'autre à manger que des patates", explique Gill Girard, bien en peine de nous en trouver la recette. On devra donc se contenter de cette chiche description fournie par l'écrivain : "Purée de patates pour le fourrage, betterave rouge pour sucrer et épluchures de patates pour le craquant." Le livre, lui, est autrement plus appétissant ! »

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156 - En rediff' hier sur TF1 : Tanguy

Je ne l'avais encore jamais vu donc ça a été l'occasion pour moi de le découvrir, hier à 20h45. Et je n'étais pas la seule à le regarder : 5 340 000 personnes étaient devant la une à la même heure selon Pure Médias.


Date : 21 novembre 2001

Durée : 1h50

Acteurs : Sabine Azema, André Dussolier, Eric Berger.

Résumé : A 28 ans, Tanguy, enfant brillant et irréprochable, habite toujours chez ses parents, avant un départ (très attendu) pour la Chine. Mais le départ est reporté et les parents craquent... Ils vont tout faire pour que Tanguy quitte enfin le doux nid familial..

Mon avis : un film au sujet bien trouvé qui nous mène de gag en gag avec des parents très bien joués et un Tanguy exagéré qui met le doigt sur un réel enjeu aujourd'hui. Partir du cocon familial, nécessité ? Réelle difficulté ?

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